Tout animal domestique, animal de compagnie par excellence ne peut et ne doit devenir une très mauvaise compagnie pour le voisinage.
L’animal de compagnie peut en effet être à l’origine de nuisances, qu’elles soient notamment sonores et/ou olfactives, et ces nuisances peuvent vite compliquer la vie de chacun.
Toutefois, il faut distinguer les gênes « normales » liées à la vie de tout animal, des gênes anormales, pouvant être considérées comme troubles de voisinage.
Pour que des nuisances soient qualifiées d’anormales, il faut notamment que celles-ci soient longues, répétitives ou qu’elles aient lieu à un moment gênant (toute la journée ou à n’importe quel moment, ou encore au milieu de nombreuses nuits par exemple) ou à un endroit particulièrement dérangeant (par exemple sous, sur vos fenêtres ou pire encore dans vos locaux d’habitation et/ou dans les annexes de votre propriété).
Voyons ensemble à partir du lien ci-dessous ce que la possession d’un animal qui se veut de compagnie suppose : la responsabilité